Le Taxi

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il y a 8 ans

Simon est un conducteur de taxi qui n’aime pas se lever tôt le matin. Il est, comme il se défini lui-même, un taxi de la nuit. Sa clientèle se compose d’arrivé d’avions en début d’après-midi, de départ de trains en fin d’après-midi et de travailleurs de début de soirée pour la semaine. Mais, il préfère les fins de semaine. En général, dès le jeudi soir, les soirées étudiants puis les sorties du week-end en boite ou retour de boite sont ses moments préférés. Il sait qu’il fait souvent de très jolies rencontres. Certes, Il y a des déboires aussi comme ces jeunes trop alcoolisés qui finissent par salir son véhicule mais il n’a jamais déploré une course non payé. Jamais ?

C’est jeudi soir et il sait qu’il va commencer tard sa journée afin de pouvoir être opérationnel pour les sorties de discothèque. Son service touche enfin à sa fin quand le centre d’appel lui propose une course non loin de lui qu’il accepte. Sur place, une très jolie jeune demoiselle d’environ 20 ans. Elle monte à l’avant et une fois la destination connue, Il part dans le noir de cette douce nuit de printemps. Il fait relativement bon cette nuit et la demoiselle a opté pour une tenue dès plus légère, un régal pour les yeux. Simon ce dit qu’il a vraiment un joli métier. La conversation est totalement banal jusqu’au moment ou la demoiselle avoue ne pas avoir l’argent nécessaire pour régler la course.

Simon est un peu furieux car il sent qu’il s’est fait avoir et qu’en règle général, la consigne est claire, c’est dehors ! Mais sur ce coup là, il ne se sent pas capable de virer la demoiselle et il la dépose à destination. Une fois arrivé, il la sermonne en lui expliquant que rien ne peut être gratuit et qu’il n’est pas bénévole. La jeune fille se pourfend en excuses et elle répond que c’est la seule façon qu’elle a trouvé pour rentrer en sécurité. Elle lui donne le peu de monnaie qu’elle a encore sur elle, insuffisant pour régler la totalité de la course.

Le conducteur de taxi rappel les consignes qu’il a en temps normal pour ce genre de situation et il demande comment elle peut sortir sans argent. La jeune fille lui explique qu’elle est une cliente fidèle et qu’elle n’a plus à payer son entrée depuis bien longtemps. Sur le siège, la jeune Carine se dandine de plus en plus mais Simon n’y prête pas plus attention. Pour finir, Simon explique à Carine qu’il n’y aura pas de deuxième fois et que déjà, elle est redevable de ce service rendu. Elle remercie la gentillesse de son « chauffeur » et elle sort de la voiture. A peine sortie, sur le trottoir, la passagère écarte les jambes puis se lâche sans retenue. Elle se pisse littéralement dessus. Sa tenue est véritablement trempée et Simon ne décolle pas son regard de ce drôle de spectacle. Il sort de sa voiture pour voir si tout va bien et Carine lui sourie en le rassurant. Elle lui précise qu’elle aime bien se laisser aller comme ca et qu’elle adore le faire dans la rue avant de rentrer chez elle mais uniquement lorsqu’il fait nuit. C’est pour elle un rituel de fin de nuit en boite. Simon n’a pour simple réflexion que de ce dire que l’alcool inhibe vraiment beaucoup les gens.

La demoiselle rentrée et en sécurité, il reprend la route pour entrer a son tour. Chez lui, il vogue sur le net et tout en repensant à la jeune fille sans gènes, il recherche « le plaisir du pipi culotte ». Résultat, c’est une pratique réellement répandue qui touche les hommes et les femmes et qui, chez certaines ou certains se termine en couches culottes. Il poursuit ses recherches sur le thème des couches culottes pour adultes et lorsqu’il aura fini de se renseigner, il est déjà 11H00 passé. Il en sait beaucoup plus sur ce plaisir qu’il a découvert grâce à sa jeune passagère.

Les jours suivant passent sans reliefs particuliers. Régulièrement il passe devant le domicile de cette jeune fille en espérant la voir, mais sans succès. Simon aimerait vraiment lui reparler mais s’il ne réussit pas à le revoir, ca va être très compliqué. Les jours défilent et il perd espoir et au bout d’un moment, il choisit de ne plus venir devant son domicile.

L’été approche en ce mois de juin et déjà les grandes chaleurs sont la. Il faut dire que dans l’arrière pays niçois, l’été commence généralement en début mai. Aujourd’hui est particulièrement chaud et Simon décide de commencer sa journée qu’au delà de 18H00. On a beau être mardi, la chaleur est trop forte pour travailler plus tot. Il est 19H15 et Simon est devant l’aéroport à attendre des passagers. Le thermomètre de la voiture indique 31° et heureusement que la voiture est climatisée car attendre dans ces conditions est difficile. Simon est plongé sur la lecture de son journal quand tout à coup, une personne se présente à la voiture, monte et demande une adresse qui n’est pas inconnue pour le conducteur. Simon se retourne et reconnait immédiatement Carine.

« - Bonjour, je vous reconnais, vous êtes déjà montée à bord de mon taxi.

  • Désolée, mais je ne m’en souviens pas. Pouvez-vous me dire à quel moment était-ce ?

  • Oui c’était il y a quelques mois a la sortie de l’hiver, je vous ai reconduite chez vous malgré votre manque d’argent et un trajet que vous n’avez pu me régler.

  • J’en suis désolée, mais je n’ai que de vagues souvenirs. Vous savez, quand je sors de boite de nuit, je ne suis généralement pas très « fraiche » si vous voyez ce que je veux dire.

  • Ah ça, pour ne pas être fraiche, vous n’étiez vraiment pas fraiche. Vous avez même uriné devant mon taxi une fois sortie. Vous m’avez avoué y trouver un malin plaisir et pratiquer le pipi culotte à chaque retour de nuit.

  • (Honteuse et rouge pivoine) Ah oui ? Heu, je ne devais vraiment pas être en bon état ce soir là.

  • J’ai fini par vous dire que vous me serez redevable tôt ou tard de ne pas vous avoir laissé sur le bord de la route au milieu de nulle part.

  • J’ai de vagues souvenirs en effet, mais je vous fais confiance, car en générale, je me fais déposer avant mon adresse exacte pour ne pas être vue à mouiller ma culotte. Je vous suis redevable, mais de quoi?

  • Je veux en savoir plus sur cette passion du pipi-culotte.

  • Ben je ne sais pas quoi dire car j’imagine que vous avez fait vos recherches.

  • Oui, c’est vrai, mais iriez-vous jusqu’au port de couches ?

  • (légèrement déstabilisée) Je ne sais pas, pourquoi me demandez-vous ca ?

  • Suite a mes recherches, j’ai pu lire que souvent le pipi-culotte allait jusqu’au port de couches et je veux savoir si c’est votre intention.

  • (elle rougit encore) Je….c’est que….comment dire…..

  • (Simon change de ton) Tu aimerais bien, mais il y a un hic n’est ce pas ?

  • Oui, c’est que….ça coute cher.

  • Ce n’est QUE CA ?

  • Oui mais c’est déjà beaucoup. vous savez combien coûte un paquet ?

  • Peu importe. As-tu de quoi rentrer chez toi en payant ma course de taxi ?

  • Heu oui si ca ne dépasse pas 25 euros.

  • Si ca dépasse, tu ne pourras pas payer ?

  • Non, car ca mangera mon budget pour le mois.

  • Tu penses en avoir pour combien dans cette course ?

  • Je ne sais pas, disons 12-13 euros.

  • Il y a 9 kilomètres environ pour rejoindre ton domicile. Tu crois que 13 euros suffiront ?

  • Heu oui, pourquoi ces questions ?

  • Je vais te faire une proposition. Si la course est inférieure ou égale à 13 euros, tu me règle et on en reste la. Si ca dépasse, pour me payer, tu deviens ma pissouse.

  • Quoi ? comment ca ?

  • Tu porteras des couches selon mes désirs que je te mettrais et que je te changerais. Mais pour être sur que tu ne fuis pas ton engagement, j’ajouterais une culotte plastique cadenas. Libre à toi ensuite de faire ce que tu veux de tes journées. Tu iras ou tu voudras, sortiras comme et quand tu voudras mais en couches. C’est ta façon de me payer également la précédente course dont je t’ai parlé. Qu’en dis-tu ?

  • (Après une très longue réflexion) Ok, mais ca ne dépassera pas les 13 euros. A moins que vous ne trichiez en prenant des rallongements.

  • Non, je vais faire au plus court et même convenir du trajet avec toi avant pour être sur.

  • Marché conclus. »

Simon et Carine fixe le trajet qui semble être le plus court et une fois la route fixée, le conducteur règle son compteur sur zéro. Durant tout le trajet, la passagère scrute presqu’uniquement le compteur. D’abord sereine, l’angoisse monte quand il indique 10 euros et qu’il reste encore un bon bout de chemin à faire jusqu'à son domicile. A 12 euros 50, elle comprend que son estimation va la faire plonger dans un drôle d’engagement pour elle. Les 13 euros passent et il ne reste plus beaucoup de distance d’ici son logement, mais le compteur ne s’arrête pas. Simon stop son véhicule :

« - Tu as perdue ton pari ma chère. Tu reconnais t’être trompée ?

  • (Vautrée sur son siège) Pfff, oui j’ai perdu. Mais pas de beaucoup.

  • (Reprenant la route) Tu verras, tout ce passera bien.

  • Mais, il fallait tourner à droite pour aller chez moi.

  • Je le sais bien, mais je n’ai pas de couches avec moi. Tu dois honorer ton engagement et nous allons en acheter de ce pas car je n’en ai pas non plus chez moi.

  • Quoi maintenant ?

  • Bien sur maintenant, un pari est un pari et plus vite tu porteras tes couches, plus vite tu honoreras ton engagement. »

Arrivé devant un magasin spécialisé, Simon invite sa passagère à descendre. Ils rentrent dans la boutique ou ils sont reçus par une vendeuse à peine plus âgée que Carine. Simon ne se désunie pas et il demande des couches adultes pour Carine en la désignant sans ménagement. La jeune femme est morte de honte et la vendeuse ne la ménage pas en demande le taux d’incontinence et la taille pour les changes. Simon explique qu’il veut l’absorption maximale pour Carine et il exige de sa passagère de connaitre la taille. Prise au piège et se sachant redevable, elle coopère sans trop réfléchir. Dans le magasin, Simon pousse le bouchon plus loin lorsque la vendeuse arrive avec un paquet:

« - Ah non, je ne veux pas qu’un seul paquet. Combien je peux mettre de paquets dans un carton ?

  • (la vendeuse) Il y a 4 paquets par cartons.

  • Je vous prends 2 cartons dans ce cas. Comme ca, elle sera bien protégée.

  • Oui, vous avez raison, il vaut mieux être bien équipé contre les soucis de ce genre. (S’adressant à Carine) Vous avez des problèmes depuis longtemps ?

  • (Simon qui coupe court a une réponse de Carine) Elle n’a aucun problème, mais comme elle se pisse dessus sans retenue et par plaisir, alors je vais lui mettre des couches et lui apprendre la vie d’un bébé.

  • (Ne sachant plus quoi répondre) Ah oui, d’accord…en effet…je crois que c’est mieux…enfin si vous pensez que c’est mieux.

  • J’ai compris ce que vous vouliez dire. Vous auriez fait pareil à ma place n’est ce pas ?

  • Oui c’est fort probable. D’autant que si elle en fait exprès, alors elle fait tout comme les vilaines petites filles. Et les vilaines petites filles qui se font pipi dessus ont leur met des couches, c’est vrai.

  • Nous sommes d’accord, à un détail prêt. Ce n’est pas une vilaine petite fille, mais un bébé. Je vais en faire un bébé progressivement le temps que je m’équipe en matériel. D’ailleurs, avez-vous des tenues ou articles qui peuvent m’aider ?

  • Je crains que non, mais si vous voulez, nous pouvons regarder sur internet. Comme ca, vous pourrez vous équiper pour mettre votre femme en tenue de bébé.

  • Elle n’est pas ma femme, pas plus que ma petite amie. C’est juste une femme avec qui j’ai fais un pari que j’ai gagné et donc, j’ai accentué sa passion pour lui mettre des couches. Couches que je vais d’abord lui mettre avant de commencer nos recherches sur la toile, de peur qu’elle ne salisse le sol.

  • Oui vous avez raison, il vaut mieux prendre des précautions. »

Simon ouvre un carton, sort un paquet et il en extrait un change complet. Il est tellement surprit par la taille de la couche qu’il l’a manipule sous tous les angles et ca n’échappe pas a la vendeuse.

« - Vous voulez peut être un cours pour bien mettre les changes sur votre bébé ?

  • Oui, ce n’est pas de refus. J’avoue être surpris par la taille que ca a. Mais je n’ai pas changé d’avis, bien au contraire même. »

En grande professionnelle, la vendeuse donne toutes les techniques pour bien protéger Carine et elle laisse soin à Simon de mettre en pratique ses conseils. Pendant toute la pose du change, il ne cesse de fixer la demoiselle droit dans les yeux pour jouir de chaque instant de ce tournant pour ce nouveau duo. Une fois la couche en place, Simon rejoint la vendeuse pour consulter internet ou il récupère plusieurs adresses très utiles pour la suite. A leur sortie, Carine arbore un léger sourire qui conforte Simon dans ce pari. Il semble évident qu’ils se sont bien trouvés. Pendant le trajet, Carine se dandine ce qui éveille les soupçons du conducteur sur la suite imminente. Le bébé mouille sa couche et sans pudeur elle le fait savoir à son « daddy ».

« - Je crois que j’ai mouillé ma couche…

  • Ce n’est pas grave mon bébé, ta couches est laà pour ca, laisse toi aller maintenant car tu n’auras plus besoin des toilettes des grands.

  • Merci Daddy ».

Un petit sourire de Simon en guise d’approbation à ce surnom place la jeune fille dans un confort nouveau. Elle se sent vraiment bien et elle a enfin ce qu’elle a toujours espéré depuis son émancipation. Mais faute de moyens financiers, elle s’est toujours résolue à des simples pipis-culottes. Avec le recul, elle est heureuse d’avoir montré cette passion à Simon car il lui offre ce rêve sur un plateau. Mais la jeune fille n’est pas au bout de ses surprises. En effet, Sur la route du domicile de son Daddy, elle se montre inquiète sur la direction qu’il prend et qu’elle ne connait pas.

« - Ne t’inquiète pas, nous allons chez moi pour y déposer les couches que je viens d’acheter. Car il n’est pas question de les déposer chez toi et encore moins que tu sois changée ailleurs que chez moi.

  • Mais c’est que…

  • Tu as quelque chose à redire bébé ?

  • Non Daddy. »

Une fois chez Simon, Carine découvre une maison traditionnelle récente de taille standard. Elle aide au transport des cartons de couches :

« - Combien de temps vous allez me mettre des couches ?

  • Déjà le temps de finir tous les paquets que je viens de t’acheter puis ensuite, nous verrons bien. Mais j’espère bien continuer après les 2 cartons finis. A moins que tu ne préfère fixer une limite ?

  • Non, en faite je dois plutôt vous remercier car c’est un rêve pour moi de porter des couches et vous me l’avez offert sans le savoir.

  • Disons plutôt que je m’en suis douté. Comme je te l’ai dit, j’ai fais beaucoup de recherches sur internet sur le plaisir du pipi-culotte et de la dérive vers le plaisir de mettre des couches. Lorsque je t’ai proposé ce pari, j’ai vite compris que tu allais accepter et que tu apprécies les changes. Maintenant, je voudrais aller plus loin si tu es d’accord.

  • Que voulez-vous ?

  • Je veux faire de toi un bébé en dehors de tes activités extérieur. Mais pour ca, il te faudra vivre avec moi ici. Tu auras ta chambre de bébé que je vais aménager ou tu y vivras, tu y seras changé et ou tu dormiras.

  • J’avoue que c’est intéressant, mais je ne sais pas si je peux accepter. Comment faire pour avoir tout le matériel en plus ?

  • Ne t’occupe pas de ca. Si je dois acheter des meubles, je le ferais. De plus, je suis assez bricoleur, ce qui me permettra de fabriquer ou modifier certains meubles. Pour toi, ca aura pour avantage de ne plus avoir de loyer à payer et de vivre juste ta passion, notre passion. A toi de me dire maintenant.

  • Je vais y réfléchir, mais j’avoue que c’est très alléchant comme proposition et que j’aurais sans doutes dis oui si je vous connaissais plus.

  • Si c’est la ton seul problème, pas de soucis, passons du temps à nous connaitre déjà avec les 8 paquets que je te destine dans ton pari perdu puis ensuite, tu me donneras ta réponse pour devenir mon bébé ici définitivement.

  • D’accord, cela me conviens. »

Des jours durant, Carine va passer tous ses temps libres auprès de Simon à se faire changer sa couche et mieux le connaitre. Simon réussit même à la convaincre de garder ses activités de jeune femme en dehors des créneaux horaires de changes. C’est avec crainte qu’elle ressort en discothèque malgré sa couche et sa culotte plastique. Mais ses petites habitudes ont malgré tout changé, elle ne porte plus de jupes ou robes et ses amies le remarque inévitablement. La belle saison est pourtant propice au port de tenues légères, mais le risque d’être vue avec la couche est trop grand et elle ne veut pas être la risée de ses copines. Dans l’ensemble, ses soirées se passent bien et personne ne détecte son secret.

Les jours passent et Carine porte des couches depuis plusieurs semaines maintenant. L’envie de poursuivre est très grande jusqu’au jour ou, 3 mois après le début du pari…

« - Bonjour Daddy.

  • Bonjour mon bébé. Alors ta couche, elle est bien remplie ?

  • Oui Daddy, elle est bien pleine.

  • C’est bien ma puce, tu vas pouvoir aller dans la nurserie pour que je te change.

  • Daddy, j’ai réfléchie à votre proposition que vous m’aviez faite au début de notre pari.

  • Je t’écoute, qu’as-tu choisie ?

  • J’accepte votre offre et j’ai vraiment envie de devenir votre bébé. Je suis vraiment en confiance avec vous et c’est un vrai plaisir d’être votre bébé. Maintenant, je veux être habillée comme vous l’avez proposé et avoir tout ce que vous voulez.

  • J’en suis très heureux. C’est une excellente nouvelle Bébé Carine. Suis-moi… »

La jeune fille accompagne Simon vers une pièce qu’elle n’a jamais vue et a l’ouverture de celle-ci, elle en reste bouche bée. Tout est déjà prêt pour en faire un bébé. Meubles, décoration, accessoires, jouets, et dans la penderie, les vêtements sont déjà en place. Puis, dans une pièce annexe fermée a clé, Carine voit un stock de couches impressionnant. Elle n’en a jamais vue autant.

« - Il est l’heure de passer ta nouvelle tenue Bébé Carine. De plus, je vais augmenter le volume de tes couches pour que ce soit plus absorbant et plus visible aussi. Tu devras assumer lorsque des personnes viendront ici me voir ou te voir. Nous sommes bien d’accord ?

  • Oui Daddy, nous sommes bien d’accord. »

Une fois dans une magnifique tenue de petite fille avec une épaisseur plus importante, Carine fait un gros bisou a son daddy pour cette nouvelle vie de rêve qui est enfin une réalité pour elle. De son coté, Simon remercie son bébé pour la confiance qu’elle lui donne et pour le plaisir de s’offrir sans retenue.

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